Chamonix 8-9 avril 2017
+3
PBM
Flo
Cath
7 participants
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Chamonix 8-9 avril 2017
Le vendredi soir sitôt les bleus de travail raccrochés, nous partons pour Chamonix histoire d’être dans les premières bennes de l’Aiguille du Midi le samedi matin.
PBM avait prévenu qu’on n’avait pas intérêt à avoir les 2 pieds dans le même sabot ! Oui Chef !
Et pour cause…
Le groupe : Dane, Flo, JG, PBM, Laurent, Etienne, Jean-Luc et moi.
7h30 gare de départ des téléphériques de l’Aiguille du Midi, nous vérifions les chargements de sacs et nous nous équipons façon ski de rando sur glacier : casques, piolets, crampons, cordes et baudriers chargés de quincailleries.
C’est la 1ère fois que je monte là-haut et je ne réalise pas encore la traversée spatio-temporelle que nous nous apprêtons à franchir passant de 1038m à 3776m d’altitude : nous allons faire un bond de 2738m de dénivelée en un temps record.
A la gare d’arrivée, nous rentrons dans la montagne, nous chaussons les crampons, les skis sur le sac, PBM me vache, le groupe sort par un trou côté sud en se penchant pour ne pas accrocher les spatules : le spectacle qui nous attend est saisissant et spectaculaire ne manquant pas de nous faire marquer l’arrêt. Un soleil brille pleins feux sur les massifs extraordinaires du Mont Blanc !
Sans traîner, nous descendons l’arrête de neige balisée aux marches bien creusées jusqu’à la plate-forme de chaussage des skis.
Les habitués énumèrent les sommets connus pour le tour d’horizon, c’est impressionnant et c’est beau.
La descente de la vallée Noire essentiellement sur neige dure nous torpille les jambes d’emblée.
Laissant le glacier du Géant à notre gauche, nous peautons et commençons la montée du glacier des Périades dans l’axe à l’ombre sous la Dent du Géant.
En approche finale, la brèche Puiseux se dévoile : 250m de couloir à 45° à remonter crampons-piolet.
Nous ne sommes pas les seuls à avoir envisagé la course. Plusieurs groupes se rattroupent à la base du couloir tels des manchots Empereurs.
L’ascension à 3432 m ne présente pas de difficulté particulière, il faut juste avoir la super caisse des grands jours, le souffle et le coeur !
Dans un fracas majestueux, de belles chutes de séracs au loin dans notre dos ponctuent la performance.
En haut, PBM organise le rappel pour nous faire basculer vers le glacier du Mont Mallet, il mouline le groupe sur les 50m à descendre. Je n’en mène pas large: le passage me vaudra le surnom de « souris hurlante prise dans sa tapette » par Flo. L’échange verbal entre PBM et moi se réduisant à des « pas trop vite Philippe!!! », « oui pas trop vite, t’inquiètes, je ne peux pas aller plus doucement Cath!!! »…à plusieurs niveaux de vocalises et répété bien-sûr ! Bref, ça, c’est fait !
La descente du glacier du mont Mallet est un régal. Quelle chance de skier sous les mythiques grandes Jorasses !
Nous savourons et rejoignons le glacier de Leschaux : l’étendue est vaste, superbe et baignée de soleil.
Sur le replat, la récréation est terminée. PBM nous montre au loin la direction à prendre pour remonter au refuge du Couvercle (2687m) a priori à skis…dubitatifs, nous n’apercevons que roches et moraine.
C’est alors un miracle de constater la subsistance d’un couloir de neige entre dalles de pierres dégoulinantes d’eau de fonte et éboulis de pierres retentissants.
Il est 15h20, l’ascension aux 1000 conversions démarre plein sud sur neige fondante sans soutien. Une épreuve, carrément le bagne.
Arrivés en haut du mur, on croit en avoir fini, mais non, 2 moraines supplémentaires nous attendent, il faut traverser, redescendre, traverser, redescendre et remonter vers le Couvercle !
Au final, il doit être 17h30.
Nous sommes rincés mais la super banane d’avoir réussi cette extraordinaire journée !
Chaleureuses embrassades et félicitations s’en suivent naturellement.
La veille après avoir pris conseil auprès du gardien, nous choisissons d’abandonner la pointe Isabella pour plusieurs raisons: le levé à 2h du mat ne séduit personne et les risques de franchissement sont désormais multiples… peu de candidats.
Nous laissons JG au refuge, il redescendra au Montenvers tranquillement dans la matinée.
Nous descendons du Couvercle skis aux pieds vers 7h et des brouettes, il fait jour.
Jean-Luc en profite pour se gameller méchamment 3 fois sur cette portion, il n’est pas en confiance. La neige est dure.
Dans le creux, le groupe peaute et je mets directement les couteaux même si cela ne s’impose dans l’immédiat.
Progressivement nous formons 2 groupes : les forts Flo Etienne et Laurent, et les plus pépères Dane PBM Jean-Luc et moi (hé les jambes tirent de la veille!)
L’ascension se fait bien, sympa. Bientôt Dane préfère redescendre nous attendre en contrebas afin de préserver un genou pour le prochain raid et elle a raison.
A moment donné, nous voyons le groupe des forts ralentir sur une petite rampe entre 2 séracs … Laurent dira avoir mis les couteaux en live dans le mur, acrobate …suivi de Flo et Etienne prudents.
A la suite, Jean-Luc parvient à passer.
Sur la zone, je demande à PBM de bien vouloir passer derrière moi. Mais la neige est dure et friable. Je n’accroche pas suffisamment même avec les couteaux. PBM me propose de nous échapper, il est encore temps. Nous redescendons en escaliers sous les séracs et nous dépêchons de chausser les crampons. Ouf ! Merci Philippe !
Ensuite ce n’est plus que du gâteau.
Le soleil a désormais envahi les versants, nous arrivons au pied du couloir de Talèfre vers 11h30, les copains sont aux 2/3 du mur crampons aux pieds, skis sur sac à dos.
PBM Jean-Luc et moi en profitons pour pique-niquer : entrée, plat, dessert. On a le temps, on admire le paysage ! Cool.
On regarde des collègues descendre le couloir soit en désescaladant à pieds, soit à skis et là, faut avoir le coeur bien accroché dans cette pente à 45°.
Le couloir est en virgule avec une petite barre rocheuse en bas, la neige est dure et on entend les cares des skis. Whaou, je me demande même si je vais oser regarder les copains descendre…
Vient le tour de nos 3 super héros :
Laurent en tête à la descente sûre, Flo se lance courageuse et téméraire, Etienne à la suite tel un voltigeur aérien enchaîne les virages, rien ne lui fait peur, c’est l’effet Black Crows jaunes fluo !
A l’endroit le plus raide, Flo demande à Etienne de sortir la corde pour l’assurer dans les prochains virages. Cette fille a vraiment du panache.
Sur la fin, Etienne qui enchaine toujours les virages que nous comptons depuis le bas, relâche sans doute l’attention et fini en roulé boulé quasi la tête dans la rimaye. Ça va Etienne ? Oui ça va ! La super patate.
Nous nous regroupons et redescendons dans la vallée sur une neige de printemps.
Un avion s’est posé dans le vallon nous récupérons Dane au passage.
Le retour sur la vallée Blanche se fait chaudement et nous terminons en ski nautique entre les ruisseaux. Il y a du monde.
Le glacier a fortement reculé, spectacle de désolation. Lorsqu’il n’y a plus de neige, il faut marcher et remonter d’interminables escaliers pour prendre des oeufs au sommet desquels nous prenons enfin le petit train rouge du Montenvers. Flo et Etienne insatiables ont pris les échelles !
Retour à Chamonix. On l’a fait !!!
Merci Philippe pour cette extraordinaire sortie pleine d’émotions qui ne manquera pas de nous laisser des souvenirs plein la tête.
PBM avait prévenu qu’on n’avait pas intérêt à avoir les 2 pieds dans le même sabot ! Oui Chef !
Et pour cause…
Samedi 8 avril 2017
La brèche Puiseux 3432m et remontée au refuge du Couvercle
Dénivelée 1500m +
La brèche Puiseux 3432m et remontée au refuge du Couvercle
Dénivelée 1500m +
Le groupe : Dane, Flo, JG, PBM, Laurent, Etienne, Jean-Luc et moi.
7h30 gare de départ des téléphériques de l’Aiguille du Midi, nous vérifions les chargements de sacs et nous nous équipons façon ski de rando sur glacier : casques, piolets, crampons, cordes et baudriers chargés de quincailleries.
C’est la 1ère fois que je monte là-haut et je ne réalise pas encore la traversée spatio-temporelle que nous nous apprêtons à franchir passant de 1038m à 3776m d’altitude : nous allons faire un bond de 2738m de dénivelée en un temps record.
A la gare d’arrivée, nous rentrons dans la montagne, nous chaussons les crampons, les skis sur le sac, PBM me vache, le groupe sort par un trou côté sud en se penchant pour ne pas accrocher les spatules : le spectacle qui nous attend est saisissant et spectaculaire ne manquant pas de nous faire marquer l’arrêt. Un soleil brille pleins feux sur les massifs extraordinaires du Mont Blanc !
Sans traîner, nous descendons l’arrête de neige balisée aux marches bien creusées jusqu’à la plate-forme de chaussage des skis.
Les habitués énumèrent les sommets connus pour le tour d’horizon, c’est impressionnant et c’est beau.
La descente de la vallée Noire essentiellement sur neige dure nous torpille les jambes d’emblée.
Laissant le glacier du Géant à notre gauche, nous peautons et commençons la montée du glacier des Périades dans l’axe à l’ombre sous la Dent du Géant.
En approche finale, la brèche Puiseux se dévoile : 250m de couloir à 45° à remonter crampons-piolet.
Nous ne sommes pas les seuls à avoir envisagé la course. Plusieurs groupes se rattroupent à la base du couloir tels des manchots Empereurs.
L’ascension à 3432 m ne présente pas de difficulté particulière, il faut juste avoir la super caisse des grands jours, le souffle et le coeur !
Dans un fracas majestueux, de belles chutes de séracs au loin dans notre dos ponctuent la performance.
En haut, PBM organise le rappel pour nous faire basculer vers le glacier du Mont Mallet, il mouline le groupe sur les 50m à descendre. Je n’en mène pas large: le passage me vaudra le surnom de « souris hurlante prise dans sa tapette » par Flo. L’échange verbal entre PBM et moi se réduisant à des « pas trop vite Philippe!!! », « oui pas trop vite, t’inquiètes, je ne peux pas aller plus doucement Cath!!! »…à plusieurs niveaux de vocalises et répété bien-sûr ! Bref, ça, c’est fait !
La descente du glacier du mont Mallet est un régal. Quelle chance de skier sous les mythiques grandes Jorasses !
Nous savourons et rejoignons le glacier de Leschaux : l’étendue est vaste, superbe et baignée de soleil.
Sur le replat, la récréation est terminée. PBM nous montre au loin la direction à prendre pour remonter au refuge du Couvercle (2687m) a priori à skis…dubitatifs, nous n’apercevons que roches et moraine.
C’est alors un miracle de constater la subsistance d’un couloir de neige entre dalles de pierres dégoulinantes d’eau de fonte et éboulis de pierres retentissants.
Il est 15h20, l’ascension aux 1000 conversions démarre plein sud sur neige fondante sans soutien. Une épreuve, carrément le bagne.
Arrivés en haut du mur, on croit en avoir fini, mais non, 2 moraines supplémentaires nous attendent, il faut traverser, redescendre, traverser, redescendre et remonter vers le Couvercle !
Au final, il doit être 17h30.
Nous sommes rincés mais la super banane d’avoir réussi cette extraordinaire journée !
Chaleureuses embrassades et félicitations s’en suivent naturellement.
Dimanche 9 avril 2017
Le col de Talèfre 3544m et retour au Montenvers
Dénivelée 1000m +
Le col de Talèfre 3544m et retour au Montenvers
Dénivelée 1000m +
La veille après avoir pris conseil auprès du gardien, nous choisissons d’abandonner la pointe Isabella pour plusieurs raisons: le levé à 2h du mat ne séduit personne et les risques de franchissement sont désormais multiples… peu de candidats.
Nous laissons JG au refuge, il redescendra au Montenvers tranquillement dans la matinée.
Nous descendons du Couvercle skis aux pieds vers 7h et des brouettes, il fait jour.
Jean-Luc en profite pour se gameller méchamment 3 fois sur cette portion, il n’est pas en confiance. La neige est dure.
Dans le creux, le groupe peaute et je mets directement les couteaux même si cela ne s’impose dans l’immédiat.
Progressivement nous formons 2 groupes : les forts Flo Etienne et Laurent, et les plus pépères Dane PBM Jean-Luc et moi (hé les jambes tirent de la veille!)
L’ascension se fait bien, sympa. Bientôt Dane préfère redescendre nous attendre en contrebas afin de préserver un genou pour le prochain raid et elle a raison.
A moment donné, nous voyons le groupe des forts ralentir sur une petite rampe entre 2 séracs … Laurent dira avoir mis les couteaux en live dans le mur, acrobate …suivi de Flo et Etienne prudents.
A la suite, Jean-Luc parvient à passer.
Sur la zone, je demande à PBM de bien vouloir passer derrière moi. Mais la neige est dure et friable. Je n’accroche pas suffisamment même avec les couteaux. PBM me propose de nous échapper, il est encore temps. Nous redescendons en escaliers sous les séracs et nous dépêchons de chausser les crampons. Ouf ! Merci Philippe !
Ensuite ce n’est plus que du gâteau.
Le soleil a désormais envahi les versants, nous arrivons au pied du couloir de Talèfre vers 11h30, les copains sont aux 2/3 du mur crampons aux pieds, skis sur sac à dos.
PBM Jean-Luc et moi en profitons pour pique-niquer : entrée, plat, dessert. On a le temps, on admire le paysage ! Cool.
On regarde des collègues descendre le couloir soit en désescaladant à pieds, soit à skis et là, faut avoir le coeur bien accroché dans cette pente à 45°.
Le couloir est en virgule avec une petite barre rocheuse en bas, la neige est dure et on entend les cares des skis. Whaou, je me demande même si je vais oser regarder les copains descendre…
Vient le tour de nos 3 super héros :
Laurent en tête à la descente sûre, Flo se lance courageuse et téméraire, Etienne à la suite tel un voltigeur aérien enchaîne les virages, rien ne lui fait peur, c’est l’effet Black Crows jaunes fluo !
A l’endroit le plus raide, Flo demande à Etienne de sortir la corde pour l’assurer dans les prochains virages. Cette fille a vraiment du panache.
Sur la fin, Etienne qui enchaine toujours les virages que nous comptons depuis le bas, relâche sans doute l’attention et fini en roulé boulé quasi la tête dans la rimaye. Ça va Etienne ? Oui ça va ! La super patate.
Nous nous regroupons et redescendons dans la vallée sur une neige de printemps.
Un avion s’est posé dans le vallon nous récupérons Dane au passage.
Le retour sur la vallée Blanche se fait chaudement et nous terminons en ski nautique entre les ruisseaux. Il y a du monde.
Le glacier a fortement reculé, spectacle de désolation. Lorsqu’il n’y a plus de neige, il faut marcher et remonter d’interminables escaliers pour prendre des oeufs au sommet desquels nous prenons enfin le petit train rouge du Montenvers. Flo et Etienne insatiables ont pris les échelles !
Retour à Chamonix. On l’a fait !!!
Merci Philippe pour cette extraordinaire sortie pleine d’émotions qui ne manquera pas de nous laisser des souvenirs plein la tête.
Cath- Messages : 91
Date d'inscription : 03/12/2012
Re: Chamonix 8-9 avril 2017
Merci Cath pour ce super c.r. ! toujours un régal de lire ta plume affûtée, qui nous replonge dans ces moments privilégiés.
Cette descente de la Brêche Puiseux, est toujours aussi magique, sous les Grandes Jorasses ! extraordinaire...
À lire aussi sur Camp to Camp le c.r. de nos prédécesseurs dans le couloir de Talèfre, qui "taclent" bien le gardien du Couvercle ! "il doit confondre les horaires d'alpi d'été et de ski…" Déjà qu'en se levant tranquilles à 6h15 le couloir était béton, alors si on l'avait écouté et levé à 4h... bref.
Et à propos de ce couloir, une petite info : "dans son ouvrage " Mont Blanc et Aiguilles Rouges à skis, Anselme BAUD raconte que ce couloir est plus fréquenté par les cristalliers que par les skieurs."
Cette descente de la Brêche Puiseux, est toujours aussi magique, sous les Grandes Jorasses ! extraordinaire...
À lire aussi sur Camp to Camp le c.r. de nos prédécesseurs dans le couloir de Talèfre, qui "taclent" bien le gardien du Couvercle ! "il doit confondre les horaires d'alpi d'été et de ski…" Déjà qu'en se levant tranquilles à 6h15 le couloir était béton, alors si on l'avait écouté et levé à 4h... bref.
Et à propos de ce couloir, une petite info : "dans son ouvrage " Mont Blanc et Aiguilles Rouges à skis, Anselme BAUD raconte que ce couloir est plus fréquenté par les cristalliers que par les skieurs."
Flo- Messages : 351
Date d'inscription : 02/12/2012
Re: Chamonix 8-9 avril 2017
Oh oui alors ! Carrément "spé" le gardien du Couvercle.
J'ai un peu botté en touche le concernant, mais je précise ici qu'il a refusé de mettre le poêle en marche histoire qu'on puisse faire sécher nos affaires et nous réchauffer...pas cool.
C'était Monsieur "Non"pour tout !
J'ai un peu botté en touche le concernant, mais je précise ici qu'il a refusé de mettre le poêle en marche histoire qu'on puisse faire sécher nos affaires et nous réchauffer...pas cool.
C'était Monsieur "Non"pour tout !
Cath- Messages : 91
Date d'inscription : 03/12/2012
Re: Chamonix 8-9 avril 2017
Merci Cath pour ce compte rendu très sympa de ce week-end magnifiques que nous attendions depuis longtemps.
Merci également à tous les participants à cette belle épopée pour leur joie et bonne humeur malgré les difficultés.
Vivement la semaine prochaine pour les nouvelles aventures de "la petite souris hurlante prise dans sa tapette"
Merci également à tous les participants à cette belle épopée pour leur joie et bonne humeur malgré les difficultés.
Vivement la semaine prochaine pour les nouvelles aventures de "la petite souris hurlante prise dans sa tapette"
PBM- Admin
- Messages : 573
Date d'inscription : 02/12/2012
Re: Chamonix 8-9 avril 2017
superbe, les d'jeun's ! la belle banane vous avez
PhiSa- Messages : 120
Date d'inscription : 02/12/2012
Re: Chamonix 8-9 avril 2017
Bravo à vous tous pour cette sortie grandiose.
faco- Messages : 37
Date d'inscription : 17/11/2014
Re: Chamonix 8-9 avril 2017
Si je me souviens bien, au rappel, Philippe n'allait pas lentement,
il était à l'arrêt
il était à l'arrêt
Étienne- Messages : 148
Date d'inscription : 10/01/2013
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